Alexandre Lecomte, 27 ans, est quelqu’un de déterminé. Originaire de France, ce jeune avocat s’est spécialisé dans un domaine aussi complexe qu’indispensable : le droit fiscal.

À la suite d’un stage réussi, notre firme a offert à Alexandre un poste de fiscaliste. Son parcours scolaire impressionnant, qui comprend une maîtrise en droit des affaires et un diplôme de la Haute École des avocats conseils, en France, a donné à Alexandre une solide base pour sa carrière.

Chaque détail compte…

Après avoir travaillé chez Grant Thornton France à Paris, Alexandre souhaitait faire le saut de l’autre côté de l’Atlantique. Fort de son réseau, Grant Thornton France l’a donc mis en contact avec notre firme. Arrivé au Québec en janvier 2022, il avait un objectif clair en tête : devenir un meilleur fiscaliste tout en s’adaptant à son nouveau contexte…

« Je suis arrivé au Québec en plein hiver. J’ai littéralement fait le grand écart en sortant de l’aéroport avec mes baskets! » raconte-t-il en riant.

Ses journées sont ponctuées par différents défis : analyser les régimes fiscaux, conseiller les entreprises sur leur stratégie en matière de taxes et de douanes, sans oublier les innombrables recherches à faire pour répondre aux besoins des divers clients. Chaque détail compte, chaque loi peut faire la différence – une réalité qui pousse Alexandre à sans cesse approfondir ses connaissances.

Une diversité d’entreprises

Ce qu’il aime de son poste, c’est justement cette complexité. Le droit fiscal est un labyrinthe de lois et de règlements, et Alexandre adore explorer ce labyrinthe pour en trouver rapidement la sortie! Son poste au sein de notre firme le met en contact avec une diversité d’entreprises allant de la petite érablière familiale aux multinationales. Cette richesse de rencontres et de défis lui permet d’apprendre continuellement et nourrit sa passion pour le droit fiscal.

Sa mission : informer et aider

Il est non seulement impliqué dans son travail, mais également dans sa communauté. En tant qu’administrateur-trésorier à la Chambre de commerce et d’industrie française au Canada, Alexandre a l’occasion d’aider des compatriotes français qui, comme lui, décident d’immigrer au Québec pour y travailler.

« Aider, c’est mon moteur. Je suis devenu avocat parce que pour moi, le terme latin advocatus, qui signifie “celui qui assiste”, a un réel sens. » Sa mission : informer, dédramatiser, expliquer, solutionner. Il a l’occasion de mieux comprendre le pouls des entreprises locales et de mettre des gens en contact.

Alexandre n’apprécie pas seulement son travail, mais aussi ses collègues. Il faut dire qu’il est de nature extravertie. À sa première journée à Québec, déjà, il échangeait avec de nombreux habitants du quartier! D’ailleurs, son intégration a été facilitée par tous ses collègues, qu’il a trouvés très accueillants.

« J’adore le présentiel! s’exclame-t-il. J’aime parler à mes collègues, pouvoir confronter mes idées avec eux. » Cette ambiance de travail stimulante et l’échange d’idées font partie des choses qui le motivent.

Une place au Québec

Le travail n’est pas son seul amour au Québec. Il a pu découvrir des activités dans des cadres uniques et d’excellents mets québécois préparés par ses amis et collègues. D’ailleurs, il aime autant la nature que la ville, aller à Tadoussac voir les baleines ou assister à un spectacle à Montréal.

Plus que jamais, Alexandre Lecomte est déterminé à apprendre des meilleurs fiscalistes, et le sentiment de confiance que ses collègues lui témoignent est précieux pour lui. Nul doute qu’il atteindra son objectif! Son histoire illustre parfaitement comment le dévouement, la passion et une touche d’aventure peuvent mener à une carrière réussie et épanouissante.

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En tant que partenaire – Recrutement campus et stratégie, Geneviève Dubé-Marcil a une mission claire : trouver les meilleurs talents parmi les étudiants et les recruter pour notre firme. Mais son rôle consiste aussi à les accompagner tout au long de ce processus. Elle nous en parle.

Peux-tu nous décrire le rôle de l’équipe en recrutement campus?

En gros, notre travail consiste à attirer, à évaluer et à recruter les meilleurs talents des universités et des cégeps pour notre entreprise.

Avec mon équipe, on organise des événements de recrutement, en allant notamment sur les campus, et on fait des présentations aux étudiants dans différents contextes. Par exemple, on participe à des salons de l’emploi, aux Jeux du Commerce et à l’Omnium financier.

On collabore aussi avec les professeurs, les services de stages et les associations étudiantes pour trouver les candidats les plus qualifiés et mettre de l’avant tous les avantages de travailler dans une firme comme la nôtre. Cet aspect-là de notre travail est très important.

On organise aussi des activités de recrutement tout au long de l’année qui aident les candidats à créer des liens, comme notre fameux garden-party qui a lieu chaque printemps à Sherbrooke, des ateliers de mixologie, des jeux d’équipe ou des cinq à sept.

Avec l’équipe, comment t’assures-tu que le parcours des candidats se déroule bien?

Les recruteurs campus sont conscients de l’importance d’offrir une expérience de qualité aux candidats. On s’efforce de maintenir une communication claire et transparente avec eux tout au long du processus de recrutement. On essaie de trouver non seulement le bon poste, mais aussi la bonne équipe pour chaque candidat.

On travaille également à guider les postulants tout au long du processus de recrutement. Ce processus peut être intimidant pour les jeunes étudiants, alors on fait vraiment tout pour bien les accompagner. Ça peut inclure des conseils pour se préparer aux entretiens, des informations sur le processus de sélection et des rencontres informelles pour se familiariser avec la marque et les produits de l’entreprise.

Quelles sont les compétences et qualités que tu recherches chez les candidats?

Aimer travailler en équipe, savoir bien communiquer, avoir de l’initiative et de l’autonomie. Ce sont tous des atouts précieux. On recherche aussi des gens qui ont envie d’apprendre et d’évoluer avec nous tout au long de leur parcours professionnel.

Quels sont les défis auxquels font face les recruteurs campus?

C’est sûr que la pandémie a été un défi en soi en empêchant parfois les rencontres en personne et en forçant les recruteurs campus à s’adapter aux événements virtuels.

De plus, les besoins en talents sont grands et l’offre abondante. Pour nous distinguer de la concurrence, on mise, entre autres, sur notre marque employeur forte. Notre réputation est déjà solide, mais on développe de plus en plus de programmes pour que les stages et la vie au sein de notre firme soient stimulants et agréables.

On travaille d’ailleurs avec des ambassadeurs, qui sont des stagiaires chez Raymond Chabot Grant Thornton. Ils viennent témoigner de leur expérience positive et ont envie de s’impliquer dans l’intégration des nouveaux venus.

C’est quoi, pour toi, une bonne entrevue?

Une bonne entrevue, c’est quand il y a une discussion, un réel échange, et que le candidat tout autant que l’entreprise ont eu l’occasion de poser toutes leurs questions, de faire part de leurs besoins ou de leurs craintes, et ont pu apprendre à se connaître.

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Quel est l’intérêt de faire un stage pour aider à bâtir sa carrière dans la profession de CPA? On en discute avec Anaïs Eudes, conseillère – recrutement universitaire chez Raymond Chabot Grant Thornton.

Qu’est-ce que ça apporte de faire un stage dans un parcours comptable?

Le stage offre aux stagiaires une expérience pratique dans leur domaine d’études. Ça leur donne l’occasion d’appliquer leurs connaissances théoriques dans un contexte de travail réel et de développer des compétences professionnelles essentielles. Quand tu fais un stage chez nous, tu te sens plus outillé après en classe et tu comprends mieux les notions vues pendant le cours.

Ça te permet aussi de découvrir les différentes facettes du métier de comptable et de te faire une idée plus précise de ce que ton futur travail va impliquer. Tu seras amené à effectuer différents mandats dès le début de ton stage. Comme Raymond Chabot Grant Thornton compte de nombreux clients, tu toucheras à toutes sortes de domaines et tu seras confronté à une grande variété de situations.

Faire un stage te donne aussi la chance de commencer à bâtir ton réseau dès maintenant. Dans notre firme, ce réseau s’étend sur plus d’une centaine de bureaux offrant de nombreux services différents. Ce sera utile pour toi tout au long de ta carrière.

Quelles autres habiletés peut-on développer durant un stage?

Pour nous, le travail doit être une source de plaisir et de motivation. Dès le départ, tu fais partie intégrante de l’équipe et tu peux t’impliquer dans le comité social et participer à tous nos événements. On est convaincus que les liens sociaux créés au travail sont essentiels pour se sentir bien dans son environnement professionnel. Le stage est une façon de développer un savoir-être qui te servira tout au long de ta vie professionnelle et personnelle.

Raymond Chabot Grant Thornton est une entreprise à taille humaine où l’ambiance de travail est chaleureuse et conviviale. Les stagiaires – et tout le personnel – sont fortement encouragés à s’exprimer librement et à partager leurs idées pour faire progresser l’entreprise. Tu apprendras donc à mettre tes projets de l’avant et à en débattre de façon respectueuse. Un autre atout gagnant!

Quels sont les avantages d’effectuer son stage chez Raymond Chabot Grant Thornton?

La qualité de l’encadrement est un des premiers facteurs à considérer. Dès ton arrivée chez nous, tu recevras une formation pour te familiariser avec les façons de faire de la firme. Tu auras aussi accès à des formations en ligne sur différents sujets, dont certaines t’aideront à te préparer pour l’examen final commun de CPA.

On est à l’écoute de nos stagiaires et on maintient une relation de proximité avec la direction et les gestionnaires. On sait qu’une communication transparente et ouverte est essentielle pour maintenir un environnement de travail sain et productif. Ça fait partie de notre culture d’entreprise.

Au premier jour de ton arrivée, les collègues sont là pour t’accueillir. Une grande firme peut être intimidante, alors on t’ouvre grand la porte pour que tu t’y sentes chez toi dès tes premiers pas. Les mentors t’offrent leur expertise, partagent leurs expériences et te donnent des conseils précieux pour t’aider à te développer dans ton futur métier. Tu acquerras rapidement une grande autonomie et un sens de la débrouillardise qui te serviront aussi dans tes études. Tout ça, en te sentant soutenu à chaque étape de ton cheminement.

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Quand un entrepreneur vit un moment charnière, comme la vente ou l’acquisition d’une entreprise ou le rachat d’un actionnaire, il a besoin d’être bien accompagné.

C’est ici qu’intervient Simon Marcotte Légaré, directeur principal en vente, achat et financement d’entreprises.

Comment pourrait-on résumer votre spécialisation?

Le travail d’un conseiller en vente, achat et financement d’entreprises consiste à accompagner les entrepreneurs quand ils envisagent de vendre leur entreprise, quand ils souhaitent faire l’acquisition d’une autre entreprise ou quand ils cherchent des capitaux pour des projets importants, comme le rachat d’un actionnaire ou des investissements majeurs en immobilisation dans le contexte d’une expansion ou d’un agrandissement.

Les entreprises dont on s’occupe proviennent de tous les secteurs et ont habituellement un chiffre d’affaires au-dessus de 30 millions de dollars.

Pouvez-vous nous parler d’une journée type?

Le travail est très diversifié. Je ne pourrais pas parler d’une journée type, mais dans une semaine, il peut y avoir, entre autres :

  • plusieurs sessions de travail avec nos collègues et nos clients pour récolter des informations sur l’entreprise et sa situation financière;
  • la préparation de modèles financiers et la rédaction de documents marketing qui servent à approcher des clients potentiels, des acheteurs ou des partenaires financiers ciblés;
  • des rencontres avec ces clients ou partenaires potentiels (acheteurs, investisseurs, banques, etc.);
  • la révision et la négociation de documents légaux tels que la lettre d’intention, le contrat d’achat d’actions ou la convention de crédit;
  • plusieurs rencontres ou activités de développement des affaires.

Les mandats durent en général de trois à quatre mois pour un financement et de neuf à douze mois pour la vente d’une entreprise.

La demande pour cette profession est-elle à la hausse?

Oui, la demande est à la hausse. Le contexte économique des dernières années a été favorable : la levée de milliards de dollars par des fonds de capital-investissement pour des sociétés privées, la disponibilité des fonds à des conditions avantageuses avec les banques et des valorisations boursières élevées. De plus, plusieurs entrepreneurs arrivent à l’âge de la retraite et souhaitent vendre leur entreprise.

Dans le contexte économique actuel plus difficile, notre implication est encore plus cruciale pour assurer le succès d’une transaction.

Qu’est-ce que vous aimez le plus dans votre travail? Quels sont vos défis?

J’ai choisi de faire ce métier parce que, d’un point de vue technique, ce domaine me passionne. On touche à des concepts avancés de la finance ainsi qu’à la stratégie d’entreprise.

C’est aussi très valorisant d’accompagner des entrepreneurs dans des moments charnières de leur vie professionnelle, comme l’acquisition d’une entreprise en phase de croissance, le rachat d’un actionnaire ou la vente de l’entreprise familiale quand arrive la retraite.

Quant aux défis liés au domaine, disons que toutes les transactions comportent des enjeux. On doit prévenir les situations plus difficiles ou trouver des solutions quand elles se présentent. Il peut s’agir de la performance de l’entreprise au moment de la transaction, d’un enjeu de communication entre le client et les partenaires potentiels, des éléments de risque identifiés lors de la revue diligente, d’enjeux légaux dans la négociation des termes et conditions de la transaction, d’enjeux macroéconomiques, etc. On doit être prêt à plusieurs éventualités et surtout être en mode solution.

Travaillez-vous en complémentarité avec d’autres expertises?

Dans notre profession, on est comme les quarts-arrières du processus transactionnel. On doit veiller à ce que tout se déroule bien à chaque étape, s’assurer de bien communiquer les instructions et les objectifs et de bien gérer les interventions des multiples professionnels impliqués. Ça inclut notamment l’équipe d’audit du client, les fiscalistes et les avocats de chaque partie et les équipes de revue diligente.

Quelles sont les compétences à acquérir pour exercer cette spécialisation?

À la base, ça prend des connaissances en finance d’entreprise et en comptabilité, ainsi qu’une compréhension du monde des affaires et de la stratégie d’entreprise. Les études qui mènent à cette profession sont généralement le bac en finance, en comptabilité ou en administration des affaires.

Par la suite, on a le choix de plusieurs spécialisations : analyste financier agréé (CFA), comptable agréé (CA), expert en évaluation d’entreprises (CBV) ou un MBA. Évidemment, ces spécialisations peuvent être utiles, mais ce n’est pas un prérequis pour devenir conseiller en vente, achat et financement d’entreprises.

De fortes aptitudes en communication et en négociation sont aussi très importantes dans notre milieu.

Avez-vous des conseils à donner à des personnes qui souhaiteraient être conseiller en vente, achat et financement d’entreprises comme vous?

L’aspect technique est important dans ce métier, mais il ne faut surtout pas oublier l’aspect humain, qui est primordial pour bâtir des relations de confiance avec nos clients et avec les divers intervenants impliqués dans une transaction. Il faut être passionné, persévérant, à l’écoute, un joueur d’équipe, et avoir la capacité d’apprendre rapidement et avoir envie de faire une différence.

Pouvez-vous décrire le contexte de travail chez Raymond Chabot Grant Thornton?

Les valeurs que je viens de nommer sont aussi importantes pour la firme et pour notre équipe. Le soutien et l’entraide sont des éléments essentiels pour notre succès. Le bien-être et le développement des employés, c’est primordial. Les nouveaux venus peuvent rapidement progresser dans leur carrière. Le travail d’équipe est axé sur la collégialité. Et, chez nous, on met toutes nos connaissances et notre expertise au service du client.

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