Passionné des chiffres depuis son jeune âge, Maxime Dufour s’est lancé avec enthousiasme dans le monde des sciences comptables.

Son parcours au sein de la firme reflète une combinaison unique d’ambition, de détermination et d’un engagement profond envers ses clients.

Son père était comptable. Maxime a donc commencé à s’intéresser aux chiffres assez tôt. C’est pourquoi, lors d’une journée carrière à l’école secondaire, il a choisi d’aller passer un avant-midi chez Raymond Chabot Grant Thornton. Il voulait savoir à quoi ressemblait le métier dans une grande firme.

Une passion qui prend forme

« Je voyais ça très glamour à l’époque, se rappelle Maxime en riant. J’avais vu l’agenda de l’associé avec qui j’étais, et ça m’avait impressionné parce qu’il devait parfois luncher avec des clients et qu’il avait aussi des cinq à sept ou des tournois de golf pour le bureau… Je ne me doutais pas de la charge de travail que ce poste représentait, en fait! »

Cette journée lui a quand même donné la piqûre, et il s’est inscrit en sciences comptables à l’université. Quand est arrivé le moment de son premier stage, il s’est tout naturellement tourné vers Raymond Chabot Grant Thornton… et s’y trouve toujours! Il est devenu associé en janvier dernier, après seulement treize ans au sein de la firme. « C’est ce que je voulais. C’était clair pour moi depuis le début. »

Une attitude de battant

Pour grimper les échelons, il faut démontrer qu’on possède les aptitudes et la motivation. Ça ne se fait pas du jour au lendemain. Le chemin a été parcouru d’embûches, mais Maxime a décidé de mettre les bouchées doubles pour y arriver. Il a développé une attitude de battant.

Ses efforts ont été récompensés, car il a été promu directeur quelque temps après son arrivée et a maintenant atteint son but de devenir associé. Il est la preuve que la ténacité est une grande qualité.

L’importance des relations clients

Maxime accorde une grande importance à établir des liens solides avec ses clients. Toujours attentif, il s’assure de comprendre pleinement les défis auxquels ils font face. Que ce soit avec ses clients ou avec les équipes internes, il privilégie la collaboration pour surmonter les obstacles et fournir un service de grande qualité.

Il est fier d’aider les entreprises locales à réussir. Il utilise son savoir-faire pour soutenir les organisations à chaque phase de leur développement, les guidant vers la réalisation de leurs objectifs. Par exemple, lui et son équipe ont dernièrement aidé une cliente qui souhaitait acquérir une entreprise. « On l’a mise en confiance et on est passés avec elle à travers toutes les étapes, jusqu’à la transaction finale. Ça transforme une vie, devenir propriétaire d’une PME! C’est un privilège d’avoir la chance d’accompagner des gens et des entreprises dans ce genre de changement. »

Il donne aussi généreusement de son temps. Depuis de nombreuses années, il est ambassadeur pour la campagne Centraide de la firme. De plus, il joue un rôle actif dans le recrutement et la formation des jeunes talents au sein de l’organisation. Il sait à quel point les vocations peuvent survenir tôt!

À travers les récits et les expériences de Maxime Dufour, une constante demeure : la passion pour son métier. Maxime illustre parfaitement que, malgré les défis qui se présentent en cours de route, la détermination et la ténacité peuvent mener à la réalisation de ses aspirations professionnelles.

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Suivant son instinct, Marie-Claude Pépin Verdo a transité avec succès du monde de la restauration à celui de la comptabilité. On retrace son parcours.

Après deux décennies en restauration, dont cinq ans à la tête de son restaurant, Marie-Claude Pépin Verdo a choisi de se réorienter. Aujourd’hui technicienne principale aux services comptables chez Raymond Chabot Grant Thornton, elle conjugue sa passion pour les chiffres à un nouvel équilibre de vie.

Lorsque la tragédie de Lac-Mégantic a frappé en 2013, Marie-Claude a perdu son restaurant, une partie intégrante de sa vie. Elle a pourtant refusé de laisser cet événement la définir. Plutôt que de s’attarder à ce qu’elle avait perdu, elle y a vu une occasion de se réinventer.

La comptabilité, qu’elle gérait pour son restaurant, était un domaine qui l’intéressait déjà. Elle a donc décidé de suivre une formation pour devenir technicienne comptable. Notre firme, qui s’occupait de la comptabilité de son entreprise, lui a alors proposé un poste.

Un lien unique avec les clients

Comment s’est passée la transition? « C’est sûr qu’au départ, je ne me trouvais pas super bonne, avoue Marie-Claude en riant. Je suis une perfectionniste, j’aime que les choses soient bien faites. En restauration, je connaissais mon métier sur le bout des doigts, mais là, j’ai dû travailler fort pour maîtriser mes dossiers. »

La firme avait toutefois vu en elle un grand potentiel. « Mon futur patron m’avait avertie que la première année serait difficile, le temps que je puisse prendre mes repères. Il a été très compréhensif et je n’ai jamais ressenti de pression de sa part. »

La grande force de Marie-Claude, c’est sa capacité à connecter avec ses clients. Nombre d’entre eux étaient des habitués de son restaurant, ce qui a bien sûr facilité la création d’un lien de confiance. Son parcours unique d’entrepreneuse lui offre une perspective que peu de techniciens possèdent. Elle est en mesure de vulgariser le langage comptable pour des nouveaux entrepreneurs qui sont moins à l’aise avec ces concepts.

Flexibilité et équilibre

L’une des appréhensions majeures de Marie-Claude dans sa transition était l’adaptation à un horaire plus rigide. En tant qu’entrepreneuse, elle jouissait d’une grande liberté, qui lui permettait de glisser un rendez-vous personnel dans sa journée de travail ou de prendre le temps d’accompagner sa fille à l’école.

Elle a vite découvert que la firme offrait une flexibilité inattendue. Comme elle le note avec enthousiasme : « Chez Raymond Chabot Grant Thornton, on peut construire notre horaire à notre guise, tant que nos objectifs sont atteints et que nos clients sont satisfaits ». En prime, après des années à s’astreindre aux horaires atypiques de la restauration, elle était heureuse de retrouver ses soirées et ses week-ends!

Passion et engagement

Au sein de la firme, elle a trouvé non seulement un emploi, mais aussi une famille qui la soutient. « J’ai pu compter à mes débuts sur une collègue en or qui m’a prise sous son aile et qui a fait preuve de beaucoup de patience à mon égard. » Ce mentorat et cet environnement bienveillant ont été essentiels pour elle.

Quels conseils donnerait-elle à ceux et celles qui voudraient faire le même métier qu’elle? « Je leur dirais de foncer. Ici, on est toujours en apprentissage, et si on souhaite relever des défis, on n’est pas laissés à nous-mêmes. Au contraire, on est encouragés et bien accompagnés. »

À tous ceux qui hésitent à changer de voie, Marie-Claude Pépin Verdo offre la preuve vivante que la passion, l’engagement et la volonté peuvent ouvrir des portes insoupçonnées. Elle est l’exemple parfait qu’il n’est jamais trop tard pour repenser sa carrière, trouver une nouvelle voie, et surtout, continuer à apprendre et à grandir.

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Active depuis 1948, notre firme a influencé la comptabilité au Québec. Les expériences de trois générations d’une même famille offrent un aperçu des 75 ans d’histoire et des changements au sein de ce fleuron québécois.

Raynald, Dominic et Hugo Deslandes se sont transmis le flambeau de leur vie professionnelle au sein de la firme. Ils nous font part de leurs parcours respectifs inspirants et de leur vision du travail chez Raymond Chabot Grant Thornton.

Des racines solides

Dominic Deslandes est devenu associé dans le groupe de Redressement et insolvabilité à 32 ans, et il compte à ce jour plus de 27 ans d’ancienneté au sein de la firme. Détenteur d’une licence de syndic autorisé en insolvabilité et nouvellement membre de l’Institut d’insolvabilité du Canada (IIC), il a plusieurs faits d’armes à son actif. Déjà, quand il était enfant, son père Raynald le trouvait en train de lire les pages économiques de La Presse ou le nez dans des états financiers! Inutile de dire que Raynald était heureux de la décision de Dominic de devenir comptable!

Ce dernier confie qu’il a tout de même caressé un temps le souhait d’être médecin. « J’aimais cette idée d’aider les autres et de répondre aux situations critiques, mais je retrouve un peu ça dans mon métier de spécialiste en restructuration. Je ne sauve pas des vies, mais j’aide des entreprises dans des contextes financiers souvent très difficiles. Mon équipe et moi, on pose des questions, on analyse les informations pour émettre le diagnostic le plus juste possible et on propose les meilleures solutions. »

Le sens de l’entraide

Dominic a travaillé fort pour arriver où il est. Il travaille encore trop selon plusieurs de ses associés. « Ça doit être héréditaire », précise-t-il. « Il y a des avantages. C’est pendant mes nombreuses heures passées au bureau que j’ai rencontré Andrée, ma conjointe et la mère de nos trois enfants. »

Il se souvient d’un moment charnière dans sa carrière. C’était au tout début. Il s’était vu confier son premier gros dossier, une scierie en Abitibi. « Je me revois là-bas, avec mes complets veston-cravate alors que les gens étaient plutôt en jeans et chemise à carreaux. Il faisait super froid, je n’avais même pas de bottes », se rappelle-t-il en riant.

Gilles Plante, un ancien associé de la firme basé sur place, l’a pris sous son aile et l’a aidé à piloter ce dossier. « Gilles était vice-président de sa région. Il avait sa clientèle à servir, mais prenait quand même le temps de suivre l’avancement de mon travail et de répondre à mes questions. Je peux dire que ça a contribué au succès de ma carrière. Un de mes plus grands regrets est qu’il soit décédé sans que j’aie pu lui dire à quel point son aide avait fait une différence pour moi », dit-il avec émotion.

Transmettre le flambeau

C’est pourquoi Dominic se fait un point d’honneur d’aider à la fois ses associés et les plus jeunes, en partageant ses connaissances et son réseau. Il est bien heureux de pouvoir suivre la progression de son fils Hugo, étudiant en administration des affaires à l’Université McGill et stagiaire chez Raymond Chabot Grant Thornton. « Je suis très fier de mes trois enfants et j’espère qu’ils feront ce qu’ils voudront dans la vie, qu’ils soient CPA ou non! »

Il faut dire qu’Hugo a cumulé les prix tout au long de ses études. Il s’est impliqué dans une foule de comités et toutes sortes d’associations. Il est d’ailleurs ambassadeur de la firme sur son campus universitaire. « Mon rôle est de parler aux étudiants, de faire connaître la société. Au sein de la firme, c’est l’entraide qui prime, pas la compétition », mentionne Hugo.

Un regard tourné vers l’avenir

Depuis la naissance de son fils Noah, il y a quelques mois, le jeune père a toutefois revu ses priorités. Lui qui songeait à faire une maîtrise à l’extérieur du pays a décidé d’attendre un moment plus propice. De même, il a pris congé des comités auxquels il appartenait pour se concentrer sur ses études et sa famille.

« Quand je regarde mon bébé, c’est sûr que je me dis que je ne veux pas travailler 70 heures par semaine. J’ai envie de passer du temps avec lui. Et puis, ce ne serait pas juste pour ma compagne Charlotte, qui a déjà manqué une session à l’université pour s’occuper de Noah à sa naissance. » Ses collègues se montrent très accommodants au travail. « On comprend la réalité des gens qui ont des enfants ici », souligne Hugo.

La génération des bâtisseurs

Cette réalité n’avait pas cours à l’époque où Raynald Deslandes a commencé à travailler au sein de la firme, en 1965, tout en poursuivant ses études de soir en comptabilité à HEC. Raynald appartient à la génération des bâtisseurs, ceux qui ont construit le Québec d’aujourd’hui. Il a lui aussi fait partie de nombreux comités. Il a été président du comité de la pratique professionnelle, membre du comité de gestion de la région de Montréal et du conseil de direction nationale, histoire de bien maîtriser la gestion interne.

Il est bien conscient de la chance qu’il a eue d’avoir une épouse qui prenait soin de la famille. « Sans elle, je n’aurais pas pu avoir la carrière que j’ai eue », reconnaît-il. Il se souvient d’ailleurs avec émotion du jour où il a appris qu’il était devenu comptable agréé. « À l’époque, les résultats étaient affichés à l’Ordre des comptables agréés. J’étais tellement nerveux que je suis resté dans l’auto et c’est ma femme, enceinte, qui est allée voir. Quand elle est ressortie, elle agitait les bras en souriant et en criant : “Tu as réussi!” C’est un des plus beaux beaux jours de ma vie », raconte-t-il, un sourire dans la voix.

Une grande adaptabilité

Il comprend fort bien que travailler 70 heures par semaine ne soit pas vu comme un idéal pour son petit-fils Hugo. « La société évolue, et c’est tant mieux. Et je suis fier de voir que la firme s’adapte comme employeur. » Il rappelle qu’il en a toujours été ainsi. Ce respect des employés, il l’a lui-même vécu aux côtés des fondateurs de la firme. Il se rappelle notamment qu’alors qu’il était jeune stagiaire et malade, son patron, Jacques Paré, avait téléphoné à son propre médecin de famille pour qu’il s’occupe de lui.

Une relève assurée?

Ces trois hommes font partie d’une longue tradition de comptables qui incarnent bien les valeurs de la firme : la collaboration, le leadership, l’agilité, l’intégrité, le respect et l’excellence.

Évidemment, en conclusion, la question se pose : le grand-père et le père complotent-ils secrètement pour que Noah prenne aussi le chemin de Raymond Chabot Grant Thornton un jour? « Ils ne complotent pas en secret, dit Hugo en riant. C’est de notoriété publique qu’ils se préparent déjà à passer le relais à mon fils! »

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D’abord venu pour ses études, Samuel Havida a adopté le Québec pour de bon il y a plus de vingt ans. Il nous raconte son parcours inspirant.

Arrivé à Montréal comme étudiant international à l’Université McGill en 1999, Samuel Havida avait bien l’intention de retourner dans son pays natal après ses études en commerce.

Toutefois, la vie, avec ses tours inattendus, en a décidé autrement. Lors d’un événement de recrutement universitaire auquel il participait par simple curiosité, un associé de Raymond Chabot Grant Thornton lui a fait une offre qui allait changer le cours de sa vie. Bien qu’il se languissait de sa famille, Samuel a décidé de saisir l’occasion et de rester au Québec.

Une fougue inégalée

Aujourd’hui, avec vingt ans d’expérience à son actif, Samuel ne regrette pas un seul instant sa décision. Il n’a pas seulement gravi les échelons; il a remodelé le paysage autour de lui avec une énergie et un charisme rares. Mais il attribue une grande partie de son succès au soutien et à l’encouragement qu’il a trouvés au sein de l’entreprise. Pour lui, la firme fait partie de sa famille.

Sa passion pour son travail est évidente et se ressent dans chaque mot qu’il prononce. « Ce qui me rend le plus fier, c’est de voir des clients ou des collègues qui, hier, pensaient que quelque chose était impossible, et qui, aujourd’hui, ont transformé ce rêve en réalité », confie-t-il avec des étoiles dans les yeux.

Rendre l’impossible possible

Il se souvient de ses débuts. « Les gens de la firme ont cru en moi plus que j’y croyais moi-même. » Cette confiance a été le socle de son ascension remarquable. Devenu associé en 2011 puis vice-président régional en 2014, il est, en plus, depuis 2021, le président et chef de la direction par intérim. Sa trajectoire est exemplaire. En parlant de son évolution, il évoque encore cette idée de rendre l’impossible possible. Une vision qu’il applique à ses clients, à ses collègues et à lui-même.

En tant que vice-président régional, Samuel Havida gère une équipe multidisciplinaire de plus de 750 professionnels, assurant une gamme complète de services pour répondre aux besoins diversifiés des clients. Son approche est celle d’un visionnaire, capable de voir le tableau d’ensemble tout en valorisant l’effort individuel.

« On doit savoir d’où on vient, apprécier où on est, mais surtout comprendre vers où on se dirige pour atteindre nos objectifs », dit-il, avec la conviction d’un leader. Chaque transaction, chaque négociation est guidée par un seul credo : déployer le plein potentiel des clients et développer les talents. Pour Samuel, la satisfaction de la clientèle est primordiale et se mesure à l’excellence du service offert.

Famille et carrière

En dehors de sa vie professionnelle, son cercle familial occupe une place prépondérante. « Beaucoup de gens disent qu’on ne peut tout avoir en même temps. Moi, je pense qu’on peut. J’ai un travail qui me permet d’être un moteur de changement et j’ai la chance de partager ma vie avec une femme exceptionnelle, qui ne voit que le meilleur dans chaque humain, et avec qui j’ai trois magnifiques enfants. »

Un destin hors du commun

La trajectoire de Samuel Havida est la preuve que parfois, le hasard, la passion, la persévérance et le dévouement peuvent converger pour créer une carrière extraordinaire. C’est l’histoire d’un homme qui, malgré les obstacles, n’a jamais perdu de vue ce qui était important pour lui : l’excellence professionnelle, l’intégrité et l’amour de sa famille. Aujourd’hui, Samuel Havida est non seulement un pilier de notre firme, mais aussi une figure emblématique de la communauté d’affaires de Montréal et un modèle pour plusieurs.

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