Comptable au sein de la firme, Wassim Chaouki mène une double vie bien remplie : expert en chiffres le jour et sportif passionné le soir.

Wassim Chaouki n’est pas un comptable typique. À 26 ans, ce dynamo allie la vivacité d’un sportif de haut niveau à l’acuité d’un professionnel de la comptabilité. Ancien membre émérite du Rouge et Or de l’Université Laval, Wassim a marqué les esprits bien au-delà du terrain de soccer. Aujourd’hui, il canalise cette même passion et cette même discipline dans sa carrière en comptabilité, avec une énergie contagieuse qui inspire ses collègues et clients.

Du handball à la comptabilité, une trajectoire unique

L’énergie débordante de Wassim lui vient de ses années en sport-étude au secondaire, où il s’est illustré en handball. Mais ce n’est que le début de son parcours diversifié. Ceinture noire en taekwondo, il a aussi touché au basketball.

« J’ai toujours vécu à 200 à l’heure », confie Wassim. Cette intensité, il la met au service de la firme depuis son arrivée. Le diplômé en administration des affaires et en comptabilité a rapidement pris ses marques, traduisant l’esprit d’équipe et la discipline du sport en succès dans le monde de la finance.

Le bonheur au travail, un équilibre entre passion et profession

Pour Wassim, le bonheur au travail rime avec accomplissement et communauté. « Ce que j’apprécie le plus ici, c’est l’esprit d’unité et la valorisation des gens », dit-il. Ce sentiment est renforcé par des activités extérieures au bureau, comme les retraites en chalet, qui favorisent la cohésion et la confiance entre collègues.

« Au bureau, je travaille avec des gens qui ont le même profil que moi, les mêmes champs d’intérêt, souligne-t-il avec enthousiasme. Ça crée des liens. Et quand on doit rester au bureau tard pour boucler un dossier, on le fait dans la bonne humeur. »

Plus qu’un comptable : un partenaire d’affaires

« Certaines personnes ont encore l’image du comptable plate au bas brun. Mais ce n’est plus ça », s’exclame Wassim. Chez Raymond Chabot Grant Thornton, il a comme clients des OSBL, des coopératives, des hôpitaux et des PME. Il aime rappeler, non sans humour, qu’il s’est déjà retrouvé à compter des cochons sur une ferme pour son travail! Cette proximité avec ses clients, il la chérit, la considérant essentielle à son rôle.

L’harmonie entre sport, travail et vie personnelle

Wassim n’a jamais cessé de « continuer de jouer », que ce soit au soccer, au vélo, à la course ou au golf. Sa capacité à gérer la pression, héritée de ses années sur le terrain, transparaît dans son travail. Il a même marqué en 2021 le but décisif qui a envoyé son ancienne équipe en finale d’une importante compétition universitaire. Aujourd’hui, il jongle entre son rôle au travail et ses passions, tout en préservant des moments privilégiés avec sa famille. Ce sont ces instants de liberté, en dehors du bureau, qui lui permettent de maintenir son rythme effréné et de toujours viser plus haut.

Un modèle de la nouvelle génération de CPA

Wassim Chaouki illustre ce que signifie être jeune et engagé aujourd’hui dans la firme. Avec son énergie et son approche terre-à-terre, il montre qu’on peut trouver de la satisfaction dans son travail et que l’équilibre entre les passions personnelles et professionnelles est non seulement possible, mais enrichissant.

Wassim Chaouki | RCGT

Wassim Chaouki | RCGT

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Passionné des chiffres depuis son jeune âge, Maxime Dufour s’est lancé avec enthousiasme dans le monde des sciences comptables.

Son parcours au sein de la firme reflète une combinaison unique d’ambition, de détermination et d’un engagement profond envers ses clients.

Son père était comptable. Maxime a donc commencé à s’intéresser aux chiffres assez tôt. C’est pourquoi, lors d’une journée carrière à l’école secondaire, il a choisi d’aller passer un avant-midi chez Raymond Chabot Grant Thornton. Il voulait savoir à quoi ressemblait le métier dans une grande firme.

Une passion qui prend forme

« Je voyais ça très glamour à l’époque, se rappelle Maxime en riant. J’avais vu l’agenda de l’associé avec qui j’étais, et ça m’avait impressionné parce qu’il devait parfois luncher avec des clients et qu’il avait aussi des cinq à sept ou des tournois de golf pour le bureau… Je ne me doutais pas de la charge de travail que ce poste représentait, en fait! »

Cette journée lui a quand même donné la piqûre, et il s’est inscrit en sciences comptables à l’université. Quand est arrivé le moment de son premier stage, il s’est tout naturellement tourné vers Raymond Chabot Grant Thornton… et s’y trouve toujours! Il est devenu associé en janvier dernier, après seulement treize ans au sein de la firme. « C’est ce que je voulais. C’était clair pour moi depuis le début. »

Une attitude de battant

Pour grimper les échelons, il faut démontrer qu’on possède les aptitudes et la motivation. Ça ne se fait pas du jour au lendemain. Le chemin a été parcouru d’embûches, mais Maxime a décidé de mettre les bouchées doubles pour y arriver. Il a développé une attitude de battant.

Ses efforts ont été récompensés, car il a été promu directeur quelque temps après son arrivée et a maintenant atteint son but de devenir associé. Il est la preuve que la ténacité est une grande qualité.

L’importance des relations clients

Maxime accorde une grande importance à établir des liens solides avec ses clients. Toujours attentif, il s’assure de comprendre pleinement les défis auxquels ils font face. Que ce soit avec ses clients ou avec les équipes internes, il privilégie la collaboration pour surmonter les obstacles et fournir un service de grande qualité.

Il est fier d’aider les entreprises locales à réussir. Il utilise son savoir-faire pour soutenir les organisations à chaque phase de leur développement, les guidant vers la réalisation de leurs objectifs. Par exemple, lui et son équipe ont dernièrement aidé une cliente qui souhaitait acquérir une entreprise. « On l’a mise en confiance et on est passés avec elle à travers toutes les étapes, jusqu’à la transaction finale. Ça transforme une vie, devenir propriétaire d’une PME! C’est un privilège d’avoir la chance d’accompagner des gens et des entreprises dans ce genre de changement. »

Il donne aussi généreusement de son temps. Depuis de nombreuses années, il est ambassadeur pour la campagne Centraide de la firme. De plus, il joue un rôle actif dans le recrutement et la formation des jeunes talents au sein de l’organisation. Il sait à quel point les vocations peuvent survenir tôt!

À travers les récits et les expériences de Maxime Dufour, une constante demeure : la passion pour son métier. Maxime illustre parfaitement que, malgré les défis qui se présentent en cours de route, la détermination et la ténacité peuvent mener à la réalisation de ses aspirations professionnelles.

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Suivant son instinct, Marie-Claude Pépin Verdo a transité avec succès du monde de la restauration à celui de la comptabilité. On retrace son parcours.

Après deux décennies en restauration, dont cinq ans à la tête de son restaurant, Marie-Claude Pépin Verdo a choisi de se réorienter. Aujourd’hui technicienne principale aux services comptables chez Raymond Chabot Grant Thornton, elle conjugue sa passion pour les chiffres à un nouvel équilibre de vie.

Lorsque la tragédie de Lac-Mégantic a frappé en 2013, Marie-Claude a perdu son restaurant, une partie intégrante de sa vie. Elle a pourtant refusé de laisser cet événement la définir. Plutôt que de s’attarder à ce qu’elle avait perdu, elle y a vu une occasion de se réinventer.

La comptabilité, qu’elle gérait pour son restaurant, était un domaine qui l’intéressait déjà. Elle a donc décidé de suivre une formation pour devenir technicienne comptable. Notre firme, qui s’occupait de la comptabilité de son entreprise, lui a alors proposé un poste.

Un lien unique avec les clients

Comment s’est passée la transition? « C’est sûr qu’au départ, je ne me trouvais pas super bonne, avoue Marie-Claude en riant. Je suis une perfectionniste, j’aime que les choses soient bien faites. En restauration, je connaissais mon métier sur le bout des doigts, mais là, j’ai dû travailler fort pour maîtriser mes dossiers. »

La firme avait toutefois vu en elle un grand potentiel. « Mon futur patron m’avait avertie que la première année serait difficile, le temps que je puisse prendre mes repères. Il a été très compréhensif et je n’ai jamais ressenti de pression de sa part. »

La grande force de Marie-Claude, c’est sa capacité à connecter avec ses clients. Nombre d’entre eux étaient des habitués de son restaurant, ce qui a bien sûr facilité la création d’un lien de confiance. Son parcours unique d’entrepreneuse lui offre une perspective que peu de techniciens possèdent. Elle est en mesure de vulgariser le langage comptable pour des nouveaux entrepreneurs qui sont moins à l’aise avec ces concepts.

Flexibilité et équilibre

L’une des appréhensions majeures de Marie-Claude dans sa transition était l’adaptation à un horaire plus rigide. En tant qu’entrepreneuse, elle jouissait d’une grande liberté, qui lui permettait de glisser un rendez-vous personnel dans sa journée de travail ou de prendre le temps d’accompagner sa fille à l’école.

Elle a vite découvert que la firme offrait une flexibilité inattendue. Comme elle le note avec enthousiasme : « Chez Raymond Chabot Grant Thornton, on peut construire notre horaire à notre guise, tant que nos objectifs sont atteints et que nos clients sont satisfaits ». En prime, après des années à s’astreindre aux horaires atypiques de la restauration, elle était heureuse de retrouver ses soirées et ses week-ends!

Passion et engagement

Au sein de la firme, elle a trouvé non seulement un emploi, mais aussi une famille qui la soutient. « J’ai pu compter à mes débuts sur une collègue en or qui m’a prise sous son aile et qui a fait preuve de beaucoup de patience à mon égard. » Ce mentorat et cet environnement bienveillant ont été essentiels pour elle.

Quels conseils donnerait-elle à ceux et celles qui voudraient faire le même métier qu’elle? « Je leur dirais de foncer. Ici, on est toujours en apprentissage, et si on souhaite relever des défis, on n’est pas laissés à nous-mêmes. Au contraire, on est encouragés et bien accompagnés. »

À tous ceux qui hésitent à changer de voie, Marie-Claude Pépin Verdo offre la preuve vivante que la passion, l’engagement et la volonté peuvent ouvrir des portes insoupçonnées. Elle est l’exemple parfait qu’il n’est jamais trop tard pour repenser sa carrière, trouver une nouvelle voie, et surtout, continuer à apprendre et à grandir.

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Active depuis 1948, notre firme a influencé la comptabilité au Québec. Les expériences de trois générations d’une même famille offrent un aperçu des 75 ans d’histoire et des changements au sein de ce fleuron québécois.

Raynald, Dominic et Hugo Deslandes se sont transmis le flambeau de leur vie professionnelle au sein de la firme. Ils nous font part de leurs parcours respectifs inspirants et de leur vision du travail chez Raymond Chabot Grant Thornton.

Des racines solides

Dominic Deslandes est devenu associé dans le groupe de Redressement et insolvabilité à 32 ans, et il compte à ce jour plus de 27 ans d’ancienneté au sein de la firme. Détenteur d’une licence de syndic autorisé en insolvabilité et nouvellement membre de l’Institut d’insolvabilité du Canada (IIC), il a plusieurs faits d’armes à son actif. Déjà, quand il était enfant, son père Raynald le trouvait en train de lire les pages économiques de La Presse ou le nez dans des états financiers! Inutile de dire que Raynald était heureux de la décision de Dominic de devenir comptable!

Ce dernier confie qu’il a tout de même caressé un temps le souhait d’être médecin. « J’aimais cette idée d’aider les autres et de répondre aux situations critiques, mais je retrouve un peu ça dans mon métier de spécialiste en restructuration. Je ne sauve pas des vies, mais j’aide des entreprises dans des contextes financiers souvent très difficiles. Mon équipe et moi, on pose des questions, on analyse les informations pour émettre le diagnostic le plus juste possible et on propose les meilleures solutions. »

Le sens de l’entraide

Dominic a travaillé fort pour arriver où il est. Il travaille encore trop selon plusieurs de ses associés. « Ça doit être héréditaire », précise-t-il. « Il y a des avantages. C’est pendant mes nombreuses heures passées au bureau que j’ai rencontré Andrée, ma conjointe et la mère de nos trois enfants. »

Il se souvient d’un moment charnière dans sa carrière. C’était au tout début. Il s’était vu confier son premier gros dossier, une scierie en Abitibi. « Je me revois là-bas, avec mes complets veston-cravate alors que les gens étaient plutôt en jeans et chemise à carreaux. Il faisait super froid, je n’avais même pas de bottes », se rappelle-t-il en riant.

Gilles Plante, un ancien associé de la firme basé sur place, l’a pris sous son aile et l’a aidé à piloter ce dossier. « Gilles était vice-président de sa région. Il avait sa clientèle à servir, mais prenait quand même le temps de suivre l’avancement de mon travail et de répondre à mes questions. Je peux dire que ça a contribué au succès de ma carrière. Un de mes plus grands regrets est qu’il soit décédé sans que j’aie pu lui dire à quel point son aide avait fait une différence pour moi », dit-il avec émotion.

Transmettre le flambeau

C’est pourquoi Dominic se fait un point d’honneur d’aider à la fois ses associés et les plus jeunes, en partageant ses connaissances et son réseau. Il est bien heureux de pouvoir suivre la progression de son fils Hugo, étudiant en administration des affaires à l’Université McGill et stagiaire chez Raymond Chabot Grant Thornton. « Je suis très fier de mes trois enfants et j’espère qu’ils feront ce qu’ils voudront dans la vie, qu’ils soient CPA ou non! »

Il faut dire qu’Hugo a cumulé les prix tout au long de ses études. Il s’est impliqué dans une foule de comités et toutes sortes d’associations. Il est d’ailleurs ambassadeur de la firme sur son campus universitaire. « Mon rôle est de parler aux étudiants, de faire connaître la société. Au sein de la firme, c’est l’entraide qui prime, pas la compétition », mentionne Hugo.

Un regard tourné vers l’avenir

Depuis la naissance de son fils Noah, il y a quelques mois, le jeune père a toutefois revu ses priorités. Lui qui songeait à faire une maîtrise à l’extérieur du pays a décidé d’attendre un moment plus propice. De même, il a pris congé des comités auxquels il appartenait pour se concentrer sur ses études et sa famille.

« Quand je regarde mon bébé, c’est sûr que je me dis que je ne veux pas travailler 70 heures par semaine. J’ai envie de passer du temps avec lui. Et puis, ce ne serait pas juste pour ma compagne Charlotte, qui a déjà manqué une session à l’université pour s’occuper de Noah à sa naissance. » Ses collègues se montrent très accommodants au travail. « On comprend la réalité des gens qui ont des enfants ici », souligne Hugo.

La génération des bâtisseurs

Cette réalité n’avait pas cours à l’époque où Raynald Deslandes a commencé à travailler au sein de la firme, en 1965, tout en poursuivant ses études de soir en comptabilité à HEC. Raynald appartient à la génération des bâtisseurs, ceux qui ont construit le Québec d’aujourd’hui. Il a lui aussi fait partie de nombreux comités. Il a été président du comité de la pratique professionnelle, membre du comité de gestion de la région de Montréal et du conseil de direction nationale, histoire de bien maîtriser la gestion interne.

Il est bien conscient de la chance qu’il a eue d’avoir une épouse qui prenait soin de la famille. « Sans elle, je n’aurais pas pu avoir la carrière que j’ai eue », reconnaît-il. Il se souvient d’ailleurs avec émotion du jour où il a appris qu’il était devenu comptable agréé. « À l’époque, les résultats étaient affichés à l’Ordre des comptables agréés. J’étais tellement nerveux que je suis resté dans l’auto et c’est ma femme, enceinte, qui est allée voir. Quand elle est ressortie, elle agitait les bras en souriant et en criant : “Tu as réussi!” C’est un des plus beaux beaux jours de ma vie », raconte-t-il, un sourire dans la voix.

Une grande adaptabilité

Il comprend fort bien que travailler 70 heures par semaine ne soit pas vu comme un idéal pour son petit-fils Hugo. « La société évolue, et c’est tant mieux. Et je suis fier de voir que la firme s’adapte comme employeur. » Il rappelle qu’il en a toujours été ainsi. Ce respect des employés, il l’a lui-même vécu aux côtés des fondateurs de la firme. Il se rappelle notamment qu’alors qu’il était jeune stagiaire et malade, son patron, Jacques Paré, avait téléphoné à son propre médecin de famille pour qu’il s’occupe de lui.

Une relève assurée?

Ces trois hommes font partie d’une longue tradition de comptables qui incarnent bien les valeurs de la firme : la collaboration, le leadership, l’agilité, l’intégrité, le respect et l’excellence.

Évidemment, en conclusion, la question se pose : le grand-père et le père complotent-ils secrètement pour que Noah prenne aussi le chemin de Raymond Chabot Grant Thornton un jour? « Ils ne complotent pas en secret, dit Hugo en riant. C’est de notoriété publique qu’ils se préparent déjà à passer le relais à mon fils! »

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