26 Sep 2019

Le journal Le Devoir a publié un intéressant article sur le transfert d’entreprises dans lequel l’expertise de notre firme en la matière est soulevée.

D’ici les prochaines années, on pourra observer, écrit le journaliste Gérard Bérubé, une hausse importante du nombre de transferts d’entreprises. Toutefois, plusieurs pourraient être infructueux, puisqu’ils ne prennent pas en considération un élément crucial : le fossé qui existe entre les générations du cédant et des repreneurs.

Le transfert d’une entreprise se fera le plus souvent aux membres d’une même famille, à un employé, à un autre gestionnaire ou encore à un tiers étranger à l’entreprise qui, généralement, est plus jeune que le cédant.

Selon notre firme et notre leader national en transfert d’entreprises et vice-président régional, « on oublie souvent de considérer les écarts de valeurs, les façons de faire et les intérêts parfois divergents entre les générations : il s’agit d’un enjeu clé, car on remarque un grand fossé générationnel entre les Québécois qui sont nés avant 1965 et ceux qui sont nés après ».

Les premiers auront une vision plus cartésienne de l’entreprise, alors que les plus jeunes générations considèrent le travail davantage par leur contribution à l’entreprise qu’en termes d’heures travaillées.

« De plus, les X et les Y sont peu impressionnés par l’autorité, contrairement à leurs aînés. Ils ont été habitués dès leur plus jeune âge à travailler en équipe; ils privilégient donc une gestion et une prise de décisions collectives. D’ailleurs, on observe qu’en moyenne, ce sont trois repreneurs qui assureront la relève d’un cédant », souligne notre firme dans cet article.

Pour bien planifier votre relève et vous assurer de passer le flambeau avec efficacité et succès, consultez nos experts en conseil en management. Ils pourront vous guider dans chaque étape de la planification et du processus de transfert.

Article suivant

23 Sep 2019

L’engouement pour le bitcoin et l’augmentation fulgurante de sa valeur en 2017 se sont révélés très alléchants pour les cybercriminels, qui ont profité du manque de connaissance des investisseurs pour les pirater.

Les cryptomonnaies ont, en effet, démontré de graves failles de sécurité et de gouvernance. D’autres risques liés aux cryptomonnaies ont également été mis au jour : « La gestion et la manipulation d’une cryptomonnaie sont risquées pour les gens », concède Louis Roy, associé, Certification et président de Catallaxy, filiale de Raymond Chabot Grant Thornton.

« Par exemple, si quelqu’un perd sa clé privée, il n’aura plus accès à ses actifs. Ce n’est pas comme égarer sa carte de guichet, qu’on peut facilement faire remplacer. »

De nombreux investisseurs conservent leurs actifs en cryptomonnaies sur leur téléphone cellulaire. En plus du risque de perdre leur avoir, ils pourraient être la cible de cyberattaques. Les investisseurs doivent donc être encore plus vigilants aux tentatives d’hameçonnage notamment.

Certains investisseurs se fient à un intermédiaire pour la gestion de leurs cryptomonnaies.

« Dans certains cas, la perte d’actifs est liée non pas à une attaque, mais à un problème de gestion ou de fraude », poursuit M. Roy.

Rappelons que, récemment, la mort du fondateur d’une entreprise dans des circonstances nébuleuses a entraîné plus de 250 M$ de pertes pour les investisseurs floués.

« Comment expliquer qu’un dirigeant d’entreprise puisse détenir des millions de dollars de ses clients à lui tout seul, sur son ordinateur personnel? », se désole Louis Roy. « Pour améliorer la cybersécurité dans le secteur des cryptomonnaies, il faudra stimuler les innovations technologiques et mieux informer les utilisateurs, mais des questions d’encadrement réglementaire se posent aussi. »

Pour en savoir plus, consultez l’article en ligne (pour abonnés seulement).

Vous êtes intéressés à comprendre la technologie de la chaîne de blocs et à en faire usage dans votre organisation? Notre équipe d’experts peut vous soutenir.

Article suivant

20 Sep 2019

De nombreux entrepreneurs approchant de la retraite aimeraient voir leurs enfants reprendre les rênes de l’entreprise familiale. Mais voilà, céder l’entreprise à ses enfants peut s’avérer plus compliqué que de la vendre à des étrangers.

En entrevue dans L’Étoile du Lac, Éric Dufour, associé et vice-président, conseil en management, rappelle pourquoi : « La situation a été corrigée au provincial, mais pas au fédéral. Il n’y a pas l’exonération fiscale qui peut atteindre 900 000 $ applicable lors d’une vente à des membres de la famille. Ça rend donc ce type de transaction plus difficile. Il faut être prêt à faire des sacrifices monétaires, car la valeur de l’entreprise, c’est les fonds de pension des propriétaires. C’est un frein et il est temps que le gouvernement change cette fiscalité des années 1980 qui n’est plus à jour. »

M. Dufour tient à rappeler aussi que la clé d’un transfert d’entreprise réussi réside dans sa planification : « Il faut réaliser un plan sur quatre ans. Il y a une cohabitation qui se met en place [entre les générations]. Il y a donc une période d’adaptation, d’où l’importance d’être bien accompagné. »

L’enjeu du transfert d’entreprise intergénérationnel préoccupe toujours notre firme. Au Québec, certaines contraintes subsistent encore à cet égard et, au fédéral, le problème demeure entier. Nous vous invitons à consulter nos recommandations, incluant la recommandation 7 contenue dans la soumission pré-budgétaire présentée au gouvernement du Québec par la firme lors du dépôt du dernier budget du Québec.

Communiquez avec nos experts en relève entrepreneuriale pour vous accompagner dans cette importante démarche.

Article suivant

16 Sep 2019

L’expertise de Catallaxy, une filiale de Raymond Chabot Grant Thornton, dans le domaine de la blockchain (chaînes de blocs) et de cryptomonnaies s’étend au-delà des frontières à la suite de l’annonce d’une entente de partenariat signée avec Grant Thornton Suisse/Liechtenstein.

En vertu de cet accord, Catallaxy se chargera de tous leurs projets impliquant un audit de cryptomonnaies durant les deux prochaines années. De plus, la firme suisse/liechtensteinoise souhaiterait utiliser Abacus, la solution logicielle pour les audits de cryptomonnaies développée par Catallaxy. Ce partenariat unique procurera à Grant Thornton une visibilité internationale au potentiel très fort.

« Avec la fondation de Catallaxy en 2017, nous souhaitions que Montréal devienne un centre d’expertise mondial pour le développement de la technologie blockchain au sein du réseau Grant Thornton. La signature de cette entente avec GT Suisse/Liechtenstein représente l’atteinte de cet objectif », souligne Emilio B. Imbriglio, président et chef de la direction de Raymond Chabot Grant Thornton.

GT suisse/Liechtenstein compte dans son portefeuille client plusieurs entreprises en lien avec les cryptomonnaies, ce qui représenterait environ 30 projets pour Catallaxy au cours des prochaines années. Ce premier rapprochement ouvre la voie et devrait en susciter davantage avec d’autres antennes dans le monde au sein des sociétés membres de Grant Thornton.

« Grâce à leur réglementation, plusieurs fondations de cryptomonnaies se sont établies en Suisse et au Liechtenstein, créant un pôle stratégique dans l’univers des cryptomonnaies, dit Michel Besner, directeur général de Catallaxy. Nous sommes heureux de fournir notre expertise, notre soutien et nos outils technologiques afin d’aider GT Suisse/Liechtenstein à devenir un leader sur leur territoire. »

Même son de cloche du côté de la firme suisse/liechtensteinoise : « Avec le développement des cryptomonnaies en Suisse et au Liechtenstein, il est intéressant de pouvoir compter sur les avantages de l’organisation Grant Thornton et de s’appuyer sur nos meilleurs spécialistes, dont Catallaxy. Cette collaboration nous permet de mieux servir les intérêts de nos clients et de nous positionner en tant que leader sur le marché. Ce qui a motivé cette entente est la volonté de devenir plus compétitif dans ce secteur en croissance », se félicite Marco Valenti de GT Suisse/Liechtenstein.

L’audit de cryptomonnaies
Avec l’essor des cryptomonnaies, de plus en plus d’entreprises possèdent des actifs numériques. À la lumière des récentes prises de position du gouvernement quant à la législation de celles-ci, il devient impératif pour les auditeurs d’obtenir une compréhension de cette nouvelle catégorie d’actifs pour pouvoir mettre en place des procédures d’audit suffisantes et appropriées. En pratique, cela se traduit par de nombreux défis. L’absence de réglementation et de maturité des technologies, les difficultés logistiques, l’aspect sécuritaire ainsi que la quantité de données présentent de véritables enjeux pour les auditeurs et les entreprises.

Par la combinaison d’une méthodologie exclusive et de l’utilisation d’une solution en temps réel développée par Catallaxy, Grant Thornton tire son épingle du jeu en ayant une offre de service unique et spécifique aux audits d’actifs numériques, répondant aux besoins des auditeurs.

À propos de Catallaxy
Filiale de Raymond Chabot Grant Thornton, Catallaxy développe des produits et des services dans les domaines de la finance, de la comptabilité, de l’économie numérique et de la numérisation des actifs physiques (biens de consommation, actifs alimentaires, immobiliers et manufacturiers et documents juridiques).

L’entreprise compte dans ses rangs un groupe d’experts en technologies innovantes, telles que l’analyse de données cryptographiques, la chaîne de blocs, la segmentation en unités (tokenization) et l’intelligence artificielle.

[class^="wpforms-"]
[class^="wpforms-"]