Gilles Fortin
Premier directeur principal | B.A.A. | Conseils financiers

Mis à jour la 27 juin 2022

Pour beaucoup d’entreprises, le financement est vu comme un obstacle à la transformation numérique, pourtant devenue indispensable à leur survie.

L’innovation technologique couvre de nombreux aspects du fonctionnement d’une entreprise. Plus que jamais, les organisations doivent l’inclure dans leur stratégie pour assurer leur pérennité et leur compétitivité. Cet investissement dans votre transformation peut se faire graduellement et de façon ciblée selon vos besoins spécifiques.

Afin de déterminer quelles sources de financement conviennent à votre entreprise, vous devez d’abord définir ces besoins, ainsi que votre structure financière.

Programme d’audit 4.0 subventionné

Vous devez prioriser vos besoins et envisager un échéancier raisonnable pour la réalisation des différentes phases d’implantation de ces innovations technologiques.

Tout d’abord, sachez que le programme ESSOR du ministère de l’Économie et de l’Innovation (MEI) offre une aide financière aux organisations de tous les secteurs d’activité afin d’établir un diagnostic et un plan numérique à l’aide d’un auditeur accrédité.

Cette étape s’avérera cruciale afin de déterminer vos besoins précis en fonction de votre niveau actuel d’avancement technologique.

Plusieurs programmes d’aide financière offerts

En fonction des besoins d’investissement identifiés (équipements, technologies, salaires, optimisation des processus) et de votre situation, vous pourriez avoir droit à de l’aide financière offerte par les gouvernements ou par des institutions.

Voici quelques-unes des ressources :

Informez-vous également des programmes ciblant votre secteur d’activité, comme le Fonds d’investissement dans la transformation des produits laitiers, ainsi que des programmes spécifiques à votre région.

Crédits d’impôts RS&DE et mesures fiscales

Sachez aussi que plusieurs mesures fiscales sont prévues pour vous aider à financer vos projets en innovation technologique. Assurez-vous de bénéficier de toutes les mesures auxquelles vous avez droit.

Prêt

Si l’entreprise prévoit une forte croissance grâce à cette mise à niveau vers l’industrie 4.0, elle pourra envisager un financement supplémentaire, soit un prêt dont le remboursement sera modulé en fonction des fonds autogénérés, désignés par différents vocables.

Obligation non garantie (débenture)

Ce placement à revenu fixe n’est généralement pas garanti par des actifs spécifiques mais plutôt par la réputation de crédit de l’émetteur.

Créance prioritaire

Il s’agit d’un prêt garanti par des actifs qui confère au prêteur un droit prioritaire de remboursement sur d’autres créanciers si, par exemple, l’entreprise se retrouvait en défaut de paiement, ou sur les bénéfices de l’entreprise.

Prêt à redevances

Prêt contre un remboursement périodique.

Prêt sur flux de trésorerie (prêt cash flow)

Prêt consenti en fonction des rentrées de fonds prévues pour le projet financé.

Vous avez des questions quant aux meilleures avenues à prendre afin de financer votre projet d’innovation? Nos experts peuvent vous aider.

04 Mai 2018  |  Écrit par :

Gilles Fortin est votre expert en conseils financiers pour le bureau de Québec. Communiquez avec...

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Ce n’est un secret pour personne, la crise actuelle provoquée par la COVID-19 a des répercussions financières importantes pour les entreprises et représente un véritable casse-tête pour les dirigeants.

Avec la technologie 4.0, effectuez le croisement des données opérationnelles et financières afin d’établir le coût de revient plus efficacement et d’optimiser votre compétitivité.

Coût de revient et mesure des processus

La pratique du coût de revient pourrait se décrire comme le croisement dans une structure commune de l’information opérationnelle et de l’information financière, qui, autrement, se trouvent souvent dans deux systèmes distincts.

L’information opérationnelle permet de mesurer de différentes façons les multiples processus d’une entreprise (vitesse, qualité, satisfaction, etc.), alors que les données financières expriment le coût des ressources qui sont requises pour faire fonctionner ces mêmes processus. Avec ces deux types de données, on arrive donc à établir le coût de processus manufacturiers, de distribution, de vente, celui du parcours client, etc.

Présentées individuellement, l’information opérationnelle et l’information financière ne fournissent pas la même valeur informationnelle et ne permettent pas une prise de décision aussi rapide et efficace.

Le défi d’acquisition de données opérationnelles pour le coût de revient

Le niveau de maturité informationnelle des entreprises est très variable, et la méthode de collecte de données va des notes sur papier jusqu’au système de gestion intégrée (ERP), en passant par l’incontournable chiffrier Excel. Jusqu’à tout dernièrement, il était rare que nous soyons en mesure d’accéder à des données structurées et de qualité. Il fallait plutôt passer par des exercices de compilation, de validation et de transformation de données afin d’obtenir des données justes pouvant être utilisées dans le coût de revient. Mais, aujourd’hui, les organisations se retrouvent face à deux grandes révolutions.

  1. L’accès facile à la numérisation
    L’offre de produits et de services dans ce domaine foisonne au Québec depuis déjà quelques années, et la crise de la COVID-19 n’a fait qu’accentuer cette tendance. On peut ainsi obtenir des données opérationnelles précises et structurées rapidement.
  2. La valorisation des données existantes
    Plusieurs entreprises ont entre les mains un actif informationnel insoupçonné. Elles accumulent des données dans des ERP, des machines-outils ou d’autres systèmes sans les exploiter.

Avec l’intelligence artificielle et les techniques d’analytique avancée, il est aujourd’hui possible de valoriser ces données et d’en tirer un avantage concurrentiel important.

Les données ainsi acquises par la numérisation des processus ou par l’exploitation des données existantes permettent à l’entreprise de déployer le coût de revient de façon plus rapide et souvent plus précise. Cela permet aussi d’exploiter les bénéfices du coût de revient et d’effectuer l’analyse de la rentabilité par produit, par client, par commande, etc., selon les informations disponibles et les objectifs de l’entreprise.

Un exemple concret

Une analyse sommaire a permis de constater que 47 % des coûts engagés par l’entreprise sont des coûts d’exploitation, alors que 53 % sont des frais de vente et d’administration. Une analyse du coût de revient des 53 % a permis de constater que ceux-ci sont composés des services suivants :

Constat :
Afin de soutenir ses distributeurs, la direction de l’entreprise embauche depuis plusieurs années davantage de ressources pour réaliser des soumissions et des dessins techniques, alors que le chiffre d’affaires n’augmente pas en conséquence.

Comprendre le comportement des coûts grâce à l’exploitation des données

L’analyse de six variables sur une certaine période et l’ajout de quelques données qualitatives complémentaires ont permis d’établir des mesures qui ont servi à caractériser chacun des distributeurs de l’entreprise :

  • Mesure no 1 : le taux de succès ($ de vente/$ de soumission);
  • Mesure no 2 : le coût de soumission par distributeur;
  • Mesure no 3 : le coût de dessin technique par distributeur;
  • Mesure no 4 : les ventes par distributeur.

Le graphique ci-dessus permet de constater que les distributeurs 1 et 2 consomment moins de 10 % de l’effort des départements de soumissions et de dessins techniques pour près de 50 % des ventes réalisées. À l’opposé, le distributeur 6 consomme à lui seul plus de 50 % de l’effort du département de soumission et 25 % de l’effort du département technique.

Rendement du capital investi

Cette analyse a permis à l’entreprise de dresser un portrait clair de la contribution de chacun des distributeurs. À partir de ces informations et de l’analyse des six variables qui soutiennent celles-ci, l’entreprise a :

  • Discuté avec les distributeurs de pistes d’amélioration;
  • Ciblé les efforts de formation;
  • Identifié les bonnes pratiques chez les distributeurs performants et les a exportées chez d’autres distributeurs;
  • Mis en place des tarifs pour certains services;
  • Éventuellement, laissé aller des distributeurs qui ne s’amélioraient pas malgré les efforts investis.

Qu’elle vienne de l’ERP, de l’intelligence artificielle ou d’ailleurs, si l’information recueillie n’est pas utilisée, le rendement du capital investi ne se réalisera pas.

Nos conseillers sont là pour vous aider à lancer ou à poursuivre votre transformation numérique et vous accompagner dans les petits projets comme dans les plus ambitieux. Foncez!

Afin d’obtenir un prédiagnostic sur le niveau de maturité du coût de revient dans votre organisation, remplissez notre questionnaire en ligne.

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Pierre Laberge
Directeur | Fiscalité

Mis à jour le 6 décembre 2022

L’intelligence artificielle peut améliorer la productivité de votre entreprise. Découvrez pourquoi et de quel soutien financier vous pourriez bénéficier.

Il y a quelques années, la transformation numérique, appelée 4.0, laissait principalement miroiter des gains de productivité pour les entreprises qui s’engageaient dans de tels projets.

Depuis, l’écosystème qui englobe les fournisseurs de solutions technologiques et les entreprises qui adhèrent au concept a acquis un peu plus de maturité et, admettons-le, les dernières années plus troubles ont bouleversé bien des prévisions et résultats.

Des cas concrets un peu partout

Aujourd’hui, il est pratiquement certain que vous connaissez une entreprise qui a déjà fait un premier bout de chemin vers sa transformation numérique et technologique. De nombreuses organisations, issues de multiples secteurs d’activité, ont amorcé leur virage en faisant progresser leurs infrastructures technologiques existantes.

Pour y arriver, ils ont engagé des projets appuyés sur les progiciels de gestion intégrés, les logiciels de gestion de la production et les suites logicielles des fournisseurs de services d’automatisation en tant que source d’information initiale. Ces informations ont été mises en valeur en couplant les systèmes déjà en place à des technologies comme la vision numérique, la robotique avancée et des systèmes d’aide à la décision ou de maintenance préventive propulsés par l’intelligence artificielle.

La question qui demeure quand vient le temps d’évaluer de tels projets est : « Est-ce qu’on en a les moyens? » En 2022, en guise de réponse, on pourrait utiliser ce cliché, pourtant si actuel : « Est-ce qu’on a les moyens de s’en passer? »

La productivité reste un objectif important, mais les enjeux de main-d’œuvre de plus en plus criants deviennent des éléments de réflexion qui pourront faire pencher votre décision. Existe-t-il des solutions qui pourront combler le manque de personnel ou rendre votre entreprise technologiquement attrayante pour les candidats que vous recherchez?

Des incitatifs fiscaux en RS&DE pour aller plus loin

L’autre enjeu dont les entreprises doivent tenir compte avant d’aller plus loin dans leur transformation numérique est l’arrimage des nouvelles solutions avec leurs systèmes en place.

En effet, certains projets novateurs ou ayant une plus grande portée peuvent se heurter à des difficultés, comme le fait de devoir composer avec des technologies qui n’ont pas le même niveau de maturité, maintenir des systèmes patrimoniaux ou intégrer dans l’environnement des composantes prévues pour un tout autre domaine.

Cette démarche est susceptible de vous amener à faire face à des défis technologiques. Cependant, c’est précisément en raison de telles situations qu’il existe des programmes dont l’objectif est de partager avec vous les risques financiers et de vous aider à surmonter ces obstacles, notamment le programme de crédits d’impôt à la RS&DE.

Il devient alors nécessaire de maximiser le soutien financier et de planifier stratégiquement chacune des étapes vers l’atteinte de vos objectifs stratégiques, financiers, opérationnels et humains.

Le saviez-vous?

Différentes mesures ont été mises en place pour favoriser votre virage numérique, mais les crédits d’impôt à l’investissement dans la recherche scientifique et le développement expérimental qui sont offerts constituent encore l’aide financière la plus généreuse au pays. Dans certains cas, la combinaison de crédits (Canada et Québec) peut totaliser près de 70 % des dépenses.

N’hésitez pas à faire appel à notre équipe spécialisée dans les incitatifs fiscaux liés à la R&D et à l’innovation technologique afin de vous soutenir dans vos efforts de financement de transformation numérique et technologique.

20 Avr 2018  |  Écrit par :

Pierre Laberge est directeur au sein de Raymond Chabot Grant Thornton. Il est votre expert en...

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Avec le virage numérique, votre client est plus que jamais au pouvoir! Afin d’évoluer avec ses besoins, votre capacité d’innovation devient primordiale.

Désormais, le client a accès à une offre de produits et de services décuplés, ainsi qu’à des coûts réduits par une guerre de la concurrence. Avec un environnement d’affaires en constante mutation, où les changements et les incertitudes se multiplient, il devient donc impératif pour une entreprise, quelle que soit sa taille, de se positionner pour assurer sa pérennité et son développement.

  • Vous constatez que votre proposition de valeur n’est plus suffisamment distinctive pour vous démarquer de votre concurrence?
  • Vous ressentez que les attentes de vos clients ont changé dans les dernières années et qu’ils veulent consommer autrement?
  • Votre entreprise ne produit plus les revenus dont vous avez besoin pour assurer votre croissance?
  • Vous remarquez que la technologie transforme les façons de faire dans votre industrie?

Si vous avez répondu « oui » à l’une de ces questions, votre entreprise doit entreprendre sans tarder une réflexion sur son modèle d’affaires afin de demeurer compétitive.

S’adapter ou mourir : comment votre modèle d’affaires peut affecter votre croissance

La vitesse avec laquelle se développent les innovations technologiques pousse les entrepreneurs à se positionner face à leur venue, ce qui peut grandement affecter leur industrie à court ou moyen terme. Force est de constater que la recette du succès d’aujourd’hui n’est plus nécessairement garante du succès de demain, obligeant les entreprises à questionner de plus en plus leur modèle d’affaires.

D’ailleurs, selon une étude de l’Economist Intelligence Unit (EIU), 54 % des entrepreneurs favorisent l’innovation avec de nouveaux modèles d’affaires plutôt que de nouveaux produits et services comme sources d’avantages concurrentiels futurs. Pourquoi? Parce que les concurrents ont plus de difficultés à copier un système d’innovation dans son ensemble qu’un simple produit ou un procédé.

C’est une évidence : les secteurs de l’économie sont en transformation de leurs modèles d’affaires. De nombreux exemples l’illustrent :

  • Airbnb avec l’industrie de l’hôtellerie;
  • Spotify avec l’industrie de la musique;
  • Alibaba dans la distribution;
  • PayPal dans les transactions financières, etc.

Même des industries plus traditionnelles, comme celle des services professionnels, sont forcées de revoir leur modèle d’affaires, comme c’est le cas de Raymond Chabot Grant Thornton qui a récemment déployé sa plateforme de e-comptabilité Operiō pour répondre aux nouveaux besoins de sa clientèle branchée.

La concurrence n’est donc plus nécessairement là où on l’attendait par le passé. Les intermédiaires ont changé, de nouveaux modèles sont apparus et, avec eux, de nouvelles occasions de rejoindre vos clients. Il faut donc vous questionner : comment pouvez-vous maintenir, mais surtout créer de nouvelles sources de revenus dans un marché en constante transformation grâce à votre modèle d’affaires?

Comment faire évoluer votre modèle d’affaires?

De prime abord, qu’est-ce qu’un modèle d’affaires? Bien que les définitions varient, la majorité s’entend pour dire qu’il se décrit comme la façon qu’a une entreprise de créer, délivrer et capturer de la valeur ajoutée auprès de sa clientèle et ainsi générer des revenus.

Il faut donc vous questionner sur la façon de créer plus de valeur pour votre client et déterminer comment vous devez organiser votre entreprise pour livrer cette valeur, que ce soit dans vos processus, vos ressources, votre chaîne de valeur, vos partenariats, etc. Ainsi, l’innovation d’un modèle d’affaires peut prendre de multiples formes, que ce soit en ajoutant de nouvelles activités à votre offre en aval ou en amont, en proposant une complémentarité à votre offre, en créant de la valeur dans la fidélisation, etc.

Pour assurer le succès de votre transformation innovante par votre modèle d’affaires, différents éléments clés sont à considérer.

Connaître le client
Une innovation par le modèle d’affaires est basée avant tout sur la connaissance que votre entreprise a de ses clients, de leurs besoins, de leurs attentes, mais surtout de la valeur qu’ils recherchent dans un produit ou un service comme le vôtre.

Ne basez pas votre modèle sur vos croyances par rapport à eux. Celles-ci sont parfois biaisées par vos perceptions ou votre historique dans l’industrie. Prenez plutôt le temps de consulter vos clients pour avoir une lecture juste et à jour de la voix du client. Planifiez et réalisez des sondages clients ou prévoyez la tenue de groupes de discussion à cet effet.

Assurer une veille stratégique
Les nouveaux modèles d’affaires ne sont pas issus uniquement d’idées nouvelles; ils s’inspirent souvent de modèles déjà implantés dans d’autres industries qui peuvent s’appliquer à la vôtre.

Prenez le temps d’analyser des secteurs connexes pour comprendre leurs bonnes pratiques en matière de modèles d’affaires et valider leur pertinence pour votre entreprise. Envisagez de baliser votre marché pour identifier les modèles d’affaires les plus probants pour votre entreprise, ou encore analysez votre concurrence afin d’évaluer les occasions de positionnement et de modèles d’affaires distinctifs à considérer.

Travailler en synergie
Un nouveau modèle d’affaires impacte sur l’ensemble de l’écosystème que représente l’entreprise. Ainsi, toutes les fonctions (ressources humaines, opérations, marketing, finances, etc.) seront sollicitées et devront évoluer à différents niveaux pour assurer la création de valeur du nouveau modèle.

Il est donc important de travailler l’innovation par le modèle d’affaires en équipe multidisciplinaire, regroupant des représentants de l’ensemble des parties prenantes de l’entreprise. Pensez à la réalisation d’ateliers de travail animés par des experts avec votre équipe afin de faire émerger les idées et bâtir le consensus sur votre nouveau modèle d’affaires. Tous auront ainsi une vision commune du projet de transformation et de leur rôle dans celui-ci.

Bien gérer le changement
Tel que mentionné, l’implantation d’un nouveau modèle d’affaires implique souvent des changements importants dans une entreprise à travers les nombreux projets opérationnels à mettre en place (implantation TI, intelligence artificielle, optimisation de processus, etc.). Il faut donc être prêt à s’engager et à gérer le changement pour assurer l’adhésion de tous (employés, clients, partenaires). De plus, il est nécessaire de bien structurer les projets opérationnels pour une mise en œuvre efficace.

Prêt à innover? Nos experts peuvent vous aider!

En somme, l’innovation par le modèle d’affaires exige l’expérience avisée d’experts, afin de vous amener à vous questionner de façon stratégique sur les fondements de votre entreprise dans le but d’offrir une proposition de valeur distinctive, vous donnant ainsi un avantage concurrentiel spécial et durable… jusqu’à la prochaine transformation!

Nos équipes d’experts en stratégie d’affaires et en performance organisationnelle peuvent vous aider à structurer vos projets de transformation, mais aussi vous soutenir afin de bien planifier la gestion du changement afférente à votre nouveau modèle d’affaires.

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Le saviez-vous?

Des crédits d’impôt sur les investissements à la recherche scientifique et au développement expérimental sont disponibles. Malgré les différentes mesures qui en ont réduit la portée au cours des derniers budgets, ces programmes constituent encore l’aide financière la plus généreuse au pays. Dans certains cas, la combinaison des crédits (Canada et Québec) peut atteindre environ 70 % des dépenses.

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