25 Juin 2019

Le 18 juin dernier, le géant Facebook dévoilait les détails entourant la Libra, sa nouvelle monnaie virtuelle, qui sera mise en marché d’ici un an.

Appelé à commenter la nouvelle à plusieurs médias, Louis Roy, associé en certification et président de Catallaxy, confie à Radio-Canada, la veille de l’annonce, que « le phénomène est intéressant par l’ampleur du projet, sachant que Facebook a 2,4 milliards d’utilisateurs ».

Sur les ondes de Kyk radio au Saguenay-Lac-Saint-Jean, M. Roy explique que « cette monnaie virtuelle a un grand potentiel, puisqu’on compte dans le monde beaucoup plus de gens « non bancarisés » que de personnes « bancarisées ». Cette monnaie, dont les frais sont très réduits grâce à la technologie de la chaîne de blocs (blockchain), permet en effet de réaliser de nombreuses transactions à l’aide d’un téléphone cellulaire, sans avoir recours à un compte bancaire. »

Cité par le Journal de Montréal, M. Roy renchérit, en disant entre autres « que ça fait trembler le système financier. C’est un projet d’une grande ampleur et la monnaie de Facebook qui sera introduite d’ici un an sera là pour de bon et ne pourra qu’évoluer au fil du temps. »

En entrevue pour RDI économie et pour le Téléjournal de Radio-Canada, Louis Roy souligne la particularité du projet Libra qui « est supporté par de gros joueurs du milieu financier tels que Uber, Spotify, Visa, Mastercard et Paypal, somme toute une première lorsqu’on parle de cryptomonnaie ».

Sur les ondes d’Énergie Québec, M. Roy soutient que la valeur de cette monnaie virtuelle stable (stablecoin) est intimement liée à celle de devises traditionnelles (comme le dollar américain par exemple), ce qui la rend moins risquée pour ses utilisateurs. « Libra tend vers le concept de monnaie universelle. Il sera maintenant intéressant d’observer comment la Libra composera avec les différentes gouvernances des différents pays où elle aura cours ». L’entrevue a été aussi l’occasion pour expliquer davantage la technologie de la chaîne de blocs et la différence de cryptomonnaie, notamment entre la future Libra et le Bitcoin.

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17 Juin 2019

Conseiller.ca consacre un article aux déductions des dépenses des conseillers en services financiers autonomes.

Bien qu’ils puissent déduire toutes les dépenses relatives à leurs fonctions, « c’est une condition sine qua non. Si on n’est pas capable de faire la démonstration qu’une dépense a été engagée dans le but de gagner un revenu, elle n’est pas déductible », précise Jean-Pierre Poulin, associé en fiscalité chez Raymond Chabot Grant Thornton.

À travers cet article, M. Poulin passe en revue les dépenses admissibles relativement aux dépenses personnelles : frais de kilométrage, intérêts payés sur emprunts, frais de repas et de représentation, bureau à domicile, etc.

Pour en savoir plus sur ces mesures, lisez l’article sur Conseiller.ca.

Demandez conseil à votre fiscaliste ou à votre conseiller financier.

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11 Juin 2019

À l’occasion de la publication d’un dossier consacré aux chasseurs de têtes, le journal Les Affaires s’intéresse aux enjeux entourant les ressources humaines.

Au rang de ces enjeux, la rétention des nouveaux employés. La grande majorité des firmes de chasseurs de têtes offrent, au client comme au candidat, une garantie allant de six mois à un an. « Si ça ne fonctionne pas au cours de cette période, on reprend le dossier », explique Louise Martel, associée, services de conseil. Il est donc primordial de trouver le bon candidat pour les bons défis.

Dans cette optique, les professionnels des ressources humaines constatent que les compétences techniques prennent moins d’importance aujourd’hui. « On passe de moins en moins de temps à les évaluer, au profit des compétences comportementales et relationnelles », précise Louise Martel.

Ce dossier comprend également un article traitant de l’intégration de l’intelligence artificielle dans les processus d’embauche. Nos experts en recrutement, les associés Louise Martel et Jean-François Boudreault ont aussi contribué à cet article.

Même si l’intelligence artificielle peut être mise à profit, notamment pour faire une préanalyse des CV de façon automatisée, Jean-Francois Boudreault indique que « nous sommes des artisans; l’aspect émotionnel reste très important. Il y a des choses qui se vivent en entrevue et qui ne se décrivent pas sur papier. C’est là que notre rôle prend tout son sens. »

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03 Juin 2019

Pour bien des entrepreneurs, il peut être plus invitant de monter une entreprise de toutes pièces, à la manière de Steve Jobs, plutôt que de reprendre une entreprise existante.

Pourtant, la reprise comporte des avantages : employés déjà en fonction, chaîne d’approvisionnement établie, etc. Les entreprises déjà établies sont d’ailleurs un tremplin vers le succès, la conquête de nouveaux marchés et la modernisation, avec la robotique et les effets positifs du virage numérique.

La créativité et l’innovation sont tout autant mises à contribution par l’entrepreneur lors d’un transfert que lorsqu’il crée sa propre entreprise.

Cité par la revue Plan, magazine de l’Ordre des ingénieurs du Québec, Éric Dufour, vice-président et leader national en relève entrepreneuriale de la firme, rappelle l’importance de bien planifier sa relève d’entreprise afin de limiter les risques financiers liés au transfert d’une entreprise.

« Il ne s’agit pas seulement d’avoir une approche comptable, mais de faire une évaluation complète de l’entreprise. Cela implique une équipe diversifiée qui comprend aussi bien un psychologue industriel qu’un spécialiste des ressources humaines et un autre du management. »

Consultez l’article en entier ici.

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